Les livres de Kadath
« Chroniques des civiliations disparues » (épuisé)
Patrick Ferryn et Ivan Verheyden
Cette anthologie reprend, regroupés par thèmes, une partie des articles parus dans les vingt premiers numéros de la revue Kadath (1973-1976). Au sommaire :
- Pièces à conviction : La mécanique d’Anticythère, les piles de Bagdad, les disques bi, etc. ;
- Entre les lignes : la chute des anges et l’enlèvement d’Hénoch, Sumer et l’histoire d’Oannès, les Vimanas ;
- Les anciens rois de la mer : inscriptions runiques au Paraguay, la carte de Pirî Ré’is, races extracontinentales en Mésoamérique, les vestiges polynésiens de Tongatabu ;
- Réactivation archéologique : L’art préhistorique, les mégalithes, Baalbek, les chronologies égyptiennes, la pyramide et le règne de Khéops, Abraham et Moïse, Palenque et les Mayas, les pyramides chinoises ;
- Stonehenge : le dossier complet ;
- Glozel : historique, objets, datations.
Éditions Robert Laffont, Paris, 1976, 299 pages.
Traduit en portugais, Ediçōes 70, Lisboa, 1981.
« L'affaire de Glozel » (épuisé)
Nicole Torchet, Patrick Ferryn et Jacques Gossart
Le site de Glozel, non loin de Vichy (France) a remis en cause un certain nombre d’hypothèses en vigueur à l’époque de sa découverte en 1924, dont l’invention de l’écriture. Les auteurs de ce livre, tous trois collaborateurs de Kadath, présentent le dossier complet sur une des plus célèbres et des plus vives controverses archéologiques du XXe siècle : historique de l’« Affaire », analyse de la mystérieuse « écriture » glozélienne, présentation illustrée des objets.
Éditions Copernic, 1978, 223 pages.
« Carnac, une porte vers l’inconnu »(épuisé)
Pierre Méreaux et l’équipe de Kadath
« Le premier livre sur la question qui ne cache rien sous le tapis » (Aimé Michel) ; tous les mystères de Carnac analysés de manière non conformiste mais rigoureuse, pour conclure par l’hypothèse de travail de Pierre Méreaux : Carnac, une centrale d’énergie ?
Éditions Robert Laffont, Paris, 1981, 280 pages, 16 pages de cahier-photo, nombreux croquis et plans.
« Les Atlantes, hier et aujourd’hui »
Jacques Gossart et l'équipe de Kadath
Une culture primordiale qui se perpétue dans ces « peuples-vestiges » que sont les Guanches, les Berbères, les Basques, et a marqué les cultures qui lui ont succédé, des pasteurs néolithiques du Tassili aux bâtisseurs des pyramides d’Égypte.
Éditions Robert Laffont, Paris, 1986, 290 pages.
Traduit en japonais, Éditions Noboru Onzou + Hiroko Takigawa, 1988.
Traduit en polonais, Éditions Pandora, Lodz, 1995.
« La longue marche du svastika » (épuisé)
Jacques Gossart
La seule étude complète sur la croix gammée. L’auteur y présente un tableau historique et géographique du svastika, analyse ses différentes significations, interprétations et utilisations, et présente sa théorie sur l’origine d’un des plus anciens symboles de l’humanité.
Éditions Dervy, Paris, 2002, 138 pages.
« Le génie technologique des Anciens »
Collectif, sous la direction de Jacques Gossart et Patrick Ferryn
Connaissances mathématiques, astronomiques ou géographiques en avance sur leur temps, instruments et outils anachroniques, techniques sophistiquées dans des domaines tels l’architecture ou la métallurgie… autant de témoignages incontestables d’un savoir et d’un savoir-faire parfaitement maîtrisés dès la plus haute antiquité. Étrangères à leur contexte historique, bien souvent uniques en leur genre, ces véritables « pièces à conviction » ne permettent certes pas, à elles seules, de connaître précisément ceux qui les ont conçues. Elles ne sont rien d’autre que des pièces de puzzle. De simples pièces, mais essentielles dans notre recherche des civilisations disparues. Le lecteur voyage, au fil des pages, dans l’espace d’abord, de la Grèce à la Chine, en passant par la Mésopotamie, l’Afrique, l’Europe de l’Ouest, l’Inde et même l’Antarctique ; dans le temps ensuite, depuis la préhistoire jusqu’au XVIe siècle de notre ère ; à travers les disciplines enfin : archéologie, mécanique, mathématiques, cartographie, astronomie, électricité, métallurgie, géographie, chimie, aéronautique.
Éditions Oxus, Escalquens, 2013, 268 pages.
« Déluges et peuples engloutis »
Collectif, sous la direction de Jacques Gossart et Patrick Ferryn
La submersion des terres est un des sujets les plus fréquemment traités dans les mythologies. Et parmi les récits les plus connus, on trouve évidemment le Déluge biblique, adaptation tardive de légendes mésopotamiennes qui remontent à la période sumérienne. Toutefois, ce thème du déluge ne se limite pas aux traditions du seul Proche-Orient, et on le retrouve un peu partout dans le monde, depuis les déluges grecs d’Ogygès et de Deucalion, jusqu’aux grandes inondations évoquées dans le Popol-Vuh, le livre sacré des Maya-Quichés, en passant par les déluges chinois de Yao et de Yu le Grand. Quant aux traditions européennes, elles ne sont pas en reste, avec des récits de villes englouties, telle la mythique ville d’Ys. Et puis, bien sûr, qui dit peuples engloutis pense immanquablement à l’Atlantide. Mais qu’en est-il de la réalité historique de ces récits qui font intervenir tantôt les flots déchaînés de l’océan, tantôt les eaux d’un ciel vengeur ? Longtemps sceptiques, les scientifiques ont maintenant les preuves que de grandes catastrophes ont périodiquement frappé les premières civilisations au cours des dix derniers millénaires. Géologues, océanographes, astrophysiciens, linguistes et archéologues mettent aujourd’hui leur savoir en commun pour reconstituer, au-delà des mythes et légendes, les épisodes dramatiques de la longue confrontation entre les hommes et les eaux.
Éditions Oxus, Escalquens, 2013, 284 pages.
« Aux origines de la Chine »
Jacques Gossart
Lorsque l’on parle de l’histoire de la Chine, c’est généralement pour évoquer ses grands personnages et ses célèbres monuments. Mais l’histoire de la Chine est bien plus riche et diversifiée. À l’époque de Confucius, la civilisation chinoise a déjà un long passé. On trouve, certes, de nombreuses informations sur ces époques lointaines dans les textes antiques et les contes populaires. Mais quelle est la part de réalité historique de ces textes ? Qu’est-ce qui relève de la fable ou de la fiction littéraire ? Serrer au plus près les récits mythologiques et les textes des historiographes, démêler le vrai du faux, distinguer la réalité de la légende, tels sont les fils conducteurs de ce livre. Car, contrairement à l’opinion la plus répandue, beaucoup de faits historiques se cachent dans les replis de la foisonnante mythologie chinoise. Les ouvrages consacrés aux origines de la Chine font généralement débuter l’histoire de ce pays à la dynastie des Xia, apparue à la fin du IIIe millénaire avant notre ère. Mais en réalité, les Xia sont les héritiers de la préhistoire, le néolithique, en particulier, qui a vu naître des sciences et des techniques déterminantes. L’astronomie, la préécriture, la divination, le travail du jade, la métallurgie, etc. se développeront sous les Xia, et s’épanouiront sous la dynastie suivante, celle des Shang. C’est alors qu’apparaîtront au grand jour ces piliers de la civilisation chinoise antique que sont le bronze et l’écriture, inventions ô combien importantes, qui sont analysées dans un chapitre spécifique consacré aux premiers pas de la science chinoise. Et, là encore, l’histoire et le mythe s’entremêlent...
Éditions Oxus, Escalquens, 2014, 268 pages.